Chaque fin d’année, tous les secteurs économiques font un point pour évaluer leur progression dans l’année. Le secteur immobilier en fait pareil, dans le but d’améliorer et prévoir ce qui se passera dans l’année qui vienne. Mais en basant seulement à Paris il y a de quoi à dire au niveau du prix de l’immobilier ancien par rapport aux autres ecteurs comme l’immobilier cote basque ou l'immo biarritz. Mais pour pouvoir dire ainsi de la situation parisienne, il faut se référer à ce qui se passe en France en général.
Situation des prix immobilier en France.
D’après le LPI (Lionel Penant Immobilier) la vente immobilière en France a connu une réussite par rapport aux années précédentes, depuis le mois d’octobre, et cela a été renforcé au mois de décembre (c’est à dire le 4ème trimestre). Ce sont les maisons le plus anciennes qui ont tiré beaucoup d’avantage avec une augmentation de 2.4% par rapport à la fin d’année 2013, même si, sur l’ensemble de l’année 2014, il y a une recule de 0.4%. Par contre, pour l’appartement, le prix de l’ancienne baisse de 0.6% pour le 4ème trimestre de l’année 2014. Dans l’ensemble, le 70% des grandes villes (plus de 100 000 habitant) en France ont connu la baisse surtout les maisons neuve jusqu’en automne, cela arrive jusqu’à -1%, mais au 4ème trimestre, il y a eu l’augmentation de 1.3%. Néanmoins le prix de l’appartement se stabilise, malgré la baisse moyenne de 1% dans l’ensemble pendant l’année.
La situation des prix immobilier à Paris.
En parlant particulièrement de Paris, on peut dire que même si, presque dans toutes les régions de la France les maisons anciennes ont connu une hausse, ce n’est pas le cas dans la région parisienne. Car si le prix de mètre carré progresse d’une hausse de 1.8%. Cela a chuté jusqu’à 4% au 4ème trimestre sur un an. Et d’après l’analyse, ceci est causé par le fait que les acheteurs étrangers se retirent du marché, et les français qui ont le moyen décident de déménager à l’étranger. Du coup, les anciens immobiliers de Paris n’ont pas pu tirer des avantages sur la hausse constatée au dernier trimestre.